Constitution européenne, après.

Fait les 21 et 22 mai 2005, revu le 26 mai 2005

 R ien de nouveau sous le soleil, les partisans du “oui” comme ceux du “non” restent arc-boutés sur leurs certitudes; en outre, on voit que les tenants du “oui” se révèlent aussi peu “Européens” que ceux du “non”, bien qu'ils aient accablés ces derniers de l'épithète désobligeant d'«anti-européens»: au prétexte que la France a voté non, il faudrait arrêter le processus. Ce qui donne à penser sur le respect que ces “oui-ouistes” ont pour les autres pays européens… Les nonistes aussi, mais comme le discours ambiant pose cela comme normal, il n'en va pas de même.

Outre le texte en cours sur l'après-référendum en France, je vous propose pour l'heure une première page concernant une correspondance qui touche au sujet.