Propositions trouvées

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 D es propositions intéressantes, on en trouve partout. En général, en allant sur les sites «où ça se passe» vous découvrirez des propositions de cet ordre. Toutes sortes de propositions. Comme je l'indique dans mon texte programmatique, «je ne suis le candidat d’aucun parti, ne défends aucune idéologie particulière et n’ai aucun “projet de société”», il y a des tas de gens qui ont des projets qui ne sont pas les miens, mais qui ont du moins ceci en commun avec le projet général qui m'anime: qu'on les laisse libres de mener leur propre parcours pour autant qu'ils ne cherchent pas à l'imposer à d'autres. En soi, je n'ai rien contre le projet des supposés «ultra-libéraux», ce qui m'ennuie et que la réalisation de leur projet de société requiert l'adhésion d'une majorité des membres de la société, leur but général étant que quelques-uns seulement profitent du peu de richesse qu'une société parvient à créer, ça induit que la majorité des producteurs de cette richesse doivent en être dessaisis, ou accepter de s'en dessaisir. Bref, aucun projet ne me gêne, seule me gêne l'injonction de me plier à tel ou tel.

Cela dit, j'ai mes préférences. Par exemple, je trouve le projet présenté dans la page «Du bonheur d’être chômeur», interview de Guillaume Paoli, que la revue L'Interdit présente comme «inspirateur du mouvement et auteur de Plus de carotte, moins de bâton». Lisant cette entrevue, vous constaterez que le problème des solutions intéressantes est justement le fait que leurs promoteurs, contrairement à ceux qui en proposent d'inintéressantes, est qu'ils ne cherchent pas à faire du prosélytisme. Sans vouloir me faire mousser, je pense avoir un projet général valable, mais pas plus que Guillaume Paoli, ne vois de raison de l'imposer, de former un groupe militant pour le faire prospérer; c'est que, quand on choisit de ne pas suivre la trace commune, c'est justement parce qu'on a autre chose à faire que faire ce que la majorité fait, tenter les autres de vivre comme on a choisi de vivre.